5 things

Hello, Hello,

Voici 5 things, 5 choses qui ont retenu mon attention récemment :

• Bambi is even bleaker than you thought. Si vous n’étiez déjà pas complètement abattu par l’actualité, cet article sur les origines de Bambi va vous achever. Plus sérieusement, j’ai beaucoup aimé la lecture de cet article qui décortique les origines de Bambi, ce que Disney a gardé et ce qu’ils ont laissé de côté. L’illustration de l’article est, comme souvent dans le New Yorker, superbe.
• L’album After Hours de The Weeknd. Merci à la prof de mon cours de « fusion » un mélange de yoga/pilates/barre qui passe on repeat « Save your tears » pendant que je plie les jambes et me concentre sur mon « centre ». Je n’ai pas pris le temps d’écouter un album de A à Z depuis longtemps, je suis habituée à zapper, à mettre des playlists, ou à passer les mêmes chansons en boucle. Bref, après avoir écouté LA chanson qui passait au cours de fusion 50 fois, je suis passée au reste de l’album, et c’est super. J’aimais déjà bien son son 80’s et sa voix à peine chantée qui monte dans les aigus, et là je suis contente d’avoir réussie à me plonger dans l’univers dark et suave de cet album.
• Je lis tous les matins la revue de presse du New York Times, par David Leonhardt, et depuis quelques semaines, celle du samedi matin est préparée par une journaliste lifestyle, Melissa Kirsch. C’est toujours un plaisir de papillonner parmi sa sélection, mais ce que je préfère, c’est l’édito par lequel sa revue commence. Un des derniers en date qui m’a marquée, c’est sa réflexion sur le besoin de nouveauté.
• Can a mom survive the vibe shift? Un sujet cher à mon coeur en ce moment : comment une mère peut survivre au changement de « vibe ». Un article qui fait suite à ce changement de vibe dont parlait cet article il y a quelques semaines. Je n’ai pas trouvé cet article transcendant, mais j’ai par contre beaucoup aimé toutes les conversations qu’il a généré.
• Inventing Anna, sur Netflix. Je déteste quand Netflix me matraque un contenu. J’ai donc commencé à regarder cette série malgré moi, et après le premier épisode que j’ai trouvé bof, et bien j’ai regardé les 5 suivants. Il m’en reste 2 ou 3, et je résiste à regarder la fin.  Je me fiche complètement de cette histoire, je ne trouve même pas la série si bien faite que ça. Je sais comment ça se termine, j’ai lu l’article qui a inspiré la série. Et pourtant, merci la machinerie Netflix, si ce soir je ne sais pas quoi regarder, je vais sans doute lancer un épisode. Bref, si vous ne savez pas de quoi je parle, cette série raconte une histoire très américaine d’une « con-story », une histoire d’arnaqueuse, Anna Sorokin, qui s’est fait passée pour une héritière et a plumé l’élite new yorkaise, et quelques banques et hôtels au passage. Comment y est-elle arrivée ? C’est l’objet de cette série. Je ne recommande pas, mais peut-être que comme moi, vous tomberez dans les rets de la plateforme de streaming.

Bon week-end du côté de chez vous !