Ça y est, c’est décidé, vous venez à Boston cette année, et vous êtes peut-être déjà en train de prévoir votre séjour. Je n’ai qu’un seul mot : super.
A ce propos, j’ai 1 chose à vous partager :
- Cette liste de conseils « à l’envers ». En gros, toutes les erreurs les plus courantes à éviter quand on vient à Boston et dans la région, la Nouvelle-Angleterre pour profiter au mieux du voyage :
Erreur #1 Se contenter de suivre le « Freedom Trail »
Le Freedom Trail, c’est cette ligne rouge de 4 km tracée sur le trottoir dans le centre de Boston, qui démarre dans le Boston Common face à l’office du tourisme et qui se termine après une montée de 300 marches, dans l’obélisque de Bunker Hill. Tout le monde la conseille, je la conseille aussi, c’est la « voie rapide » pour découvrir Boston en une demi-journée. Bref, c’est la solution de facilité quand on ne sait pas trop quoi faire, et ça va nous faire voir tous les beaux bâtiments de la ville, simplement, sans trop réfléchir. Ne vous attendez pas à des tonnes d’explications le long du tracé, mais par contre souvent beaucoup de monde, surtout un samedi d’été.
Mon conseil : Ne pensez pas avoir vu Boston en ne faisant que suivre le Freedom Trail, vous aurez vu le super-centre historique, et basta. C’est déjà ça ! Si vous êtes limités en temps à Boston, faites le Freedom Trail, oui, mais utilisez un guide pour vous guider (mon ebook par exemple met en lumière les arrêts importants du Freedom Trail), il n’y a que très peu d’explications sur les panneaux au fil de la visite.
Variante de l’erreur #1 : se contenter de faire le « Duck Tour »
Le Duck Tour, c’est un bus amphibie qui fait un tour d’1h30 dans Boston, un tour à la fois sur la terre, dans les rues de la ville, et sur l’eau, sur la Charles River. C’est amusant, surtout avec des enfants, surtout un jour chaud d’été. Ce n’est pas le tour qui vous apprendra grand chose sur Boston, et n’y participez que si vous aimez un guide qui vous fait dire « quack, quack » (le « coin coin » local).
Mais quel est donc ce bâtiment au dôme doré ?
Erreur #2 Ne rester qu’une seule journée à Boston
On n’a parfois pas trop le choix, et on coince la visite de Boston en une seule journée. Je vois parfois des visiteurs qui passent 10 jours à New York et viennent une seule journée à Boston… à regret a posteriori. La conséquence d’un passage express : on se dépêche avec un programme chargé, type Freedom Trail le matin, Harvard l’après-midi, éventuellement un verre le soir du côté du Quincy Market. Est-ce qu’on gardera un souvenir impérissable de Boston ? Je pense qu’on gardera surtout un sentiment de trop vite-vu.
Mon conseil : Restez un peu plus longtemps, un, deux, trois jours de plus. Prenez le temps d’aller tôt le matin dans un café (si vous arrivez de France, le décalage horaire vous aidera à vous lever tôt) pour sentir l’ambiance locale, aller voir un match de sport, même si vous avez peur de vous ennuyer au base-ball. Et si les billets des équipes officielles sont trop chers (Boston a parmi les meilleures équipes du pays), regardez du côté des équipes des universités, déjà de très bon niveau. Allez faire un tour en mer, louez des vélos. Ne vous contentez pas du centre de Boston, type Beacon Hill et le downtown ; ces quartiers ont a beau être les plus iconiques et reconnaissables, ils ne sortent pas des sentiers battus. Rendez-vous dans des quartiers comme Jamaica Plain, Charlestown, Brookline, ou au nord à Somerville qui font aussi partie de l’identité de Boston.
Bow Market
Coolidge Corner
JP
Erreur #3 Ignorer la météo
Les 4 saisons sont très marquées à Boston – cela dit, je relis cet article alors qu’il fait 17°C un 5 février… ce qui est inhabituel.
Pour faire vite :
- l’hiver est long, froid et le plus souvent sous la neige,
- le printemps est court (fin avril-mi-mai) et la nature explose de toutes les couleurs,
- l‘été est chaud et humide – ne vous fiez pas aux 25°C, quand il fait humide par-dessus, la température ressentie est souvent étouffante,
- et l’automne, quoique magnifique est imprévisible.
Ce qui surprend est la variabilité du temps en une seule semaine, voire en une seule journée – amplitude de températures importante, un temps qui passe de la grêle à l’orage, suivie de chaleurs torrides en été par exemple.
Mais qu’on se rassure, malgré ces extrêmes, il y a en moyenne 200 jours de soleil à Boston par an – c’est 50 à Paris.
Mon conseil : vérifiez la météo avant de partir, et prévoyez une panoplie de vêtements pour affronter toutes les températures et tous les temps. Le bonnet est souvent indispensable d’octobre à avril. En été, prévoyez de la pluie, du froid et de la chaleur dans la même journée. Et même en été, le petit pull n’est jamais de trop pour affronter la clim dans les restos, cinés, musées. Et n’oubliez pas qu’aux Etats-Unis, le confort prime sur l’élégance.
Les arbres en fleurs au printemps / Le temps des glaces
Les couleurs folles de l’automne / L’hiver quand tout est blanc
Erreur #4 Croire qu’on mange mal aux Etats-Unis, et donc qu’on mange mal à Boston
Les clichés ont vraiment la vie dure et le plus persistant pour les Etats-Unis est le suivant : « Qu’est-ce qu’on mange mal/gras/trop ! » C’est vrai… en partie ! On peut tout à fait se gaver de burgers et de sodas, de hot dogs et de bière fade, de cupcakes gigantesques et de bonbons supra-chimiques.
MAIS, on peut aussi manger sain, créatif et original, végétarien, léger, et aussi surtout international. Il suffit de chercher un tout petit peu.
Mon conseil : tout comme les activités, les sorties resto se prévoient à l’avance. Avant d’arriver à la Nouvelle-Orléans lors d’un séjour en décembre 2018, j’avais repéré 2 restaurants où je voulais absolument aller. Une petite réservation faite par Internet avant d’arriver, et hop, j’avais 2 soirées de prévues à l’avance. Faites la même chose pour Boston, repérez avant d’arriver là où vous voulez aller. Il y a de nombreuses idées sur le blog, dans l’ebook et bien sûr via les guides lors des visites guidées.
Côté boissons, la micro-brasserie est très tendance dans toutes les grandes villes américaines, et Boston maintient haut la main sa réputation de ville à bières – sans doute grâce à son héritage irlandais. Si les brasseries les plus connues, comme Sam Adams, se visitent et leurs bières se déclinent dans toutes les saveurs, pensez aussi à faire un tour dans les plus petites brasseries, moins connues. Vous serez surpris de la variété de l’offre de la bière américaine, loin de la caricature d’une bière jaunasse insipide.
Bon à savoir 1 : Les bons restos sont souvent pris d’assaut pendant l’année, et le mieux est de réserver une table… à l’heure américaine, où le dîner est servi dès 17h30 et jusqu’à 21h-21h30 à Boston et parfois pas plus tard que 20h30 dans la région. Et n’oubliez pas le pourboire ! Si vous ne savez pas comment procéder, j’ai écrit un article sur le sujet.
Bon à savoir 2 : Le coût de la vie est élevé à Boston comme sur toute la côte Est. Sortir au restaurant a un certain coût, un plat étant autour de 18-25$, un verre de vin environ 12$, une entrée (appetizer) et un dessert autour de 8-12$ chacun + le tip. Une bonne option consiste à faire des courses ! Et il y a des supermarchés dans Boston, c’est une question qu’on me pose souvent dans les visites « où faire ses courses ? » Et ce qu’il y a de bien dans les supermarchés, c’est qu’ils ont bar à salade où on peut composer un menu léger, coloré et bon à base de salade, ou choisir parmi une multitude de plats à emporter pour manger sur le pouce et relativement pas cher.
Inspiration chinoise, hawaïenne et thaïe pour ces 3 restos bostonien
Erreur #5 Ne se déplacer qu’à pied à Boston
Les Américains aiment dire que Boston est la ville la plus « walkable », « marchable » des Etats-Unis. Et c’est vrai… si on vit dans le centre – Fenway, Back Bay, South End, downtown, Seaport : on peut marcher pour aller à peu près partout.
Mon conseil : Oubliez la voiture à Boston, et marchez, ça oui. Mais vous aurez sûrement à prendre le métro (antique) pour aller à Harvard, quitte à revenir en vélo, en faisant attention. Il y a de plus en plus de pistes cyclables à Boston, et en tant que cycliste depuis des années, je trouve la ville très plaisante pour se déplacer en pédalant, mais certaines routes sont dangereuses, et les automobilistes ne sont pas encore très habitués à partager la chaussée.
Et pourquoi pas faire du canoë sur la rivière, du bateau pour se promener autour des îles du port – que ce soit en prenant un ferry ou un voilier, ou bien encore aller vertical plutôt qu’horizontal en montant tout en haut de la tour Prudential ?
Le long du Collier d’Emeraude // Canoë sur la « Charles River »
Erreur #6 Aller uniquement à Harvard… et zapper le MIT
Boston est la ville américaines des universités… même si techniquement les plus célèbres se trouvent de l’autre côté de la rivière : à Cambridge ! (à ne pas confondre avec sa version british) On a souvent en tête des images de Harvard qu’on fantasme comme une école à la Harry Potter.
Mon conseil : Je recommande à 100% d’aller voir le campus de Harvard (tôt le matin ou en fin d’après-midi en été pour éviter les foules de touristes), mais aussi celui du MIT, moins impressionnant au premier abord, mais qui regorge de pépites architectures néo-classiques et contemporaines.
En vous promenant dans Boston, vous serez sans doute impressionnés de voir des « colleges » et autres « universities » un peu partout, on en compte un minimum de 35 dans l’agglomération.
Bonus : Et si vous partez en voyage dans la région, vous pouvez pousser la passion pour les universités américaines en allant voir Brown à Providence, Yale dans le Connecticut, Dartmouth dans le New Hampshire, ou l’un de mes préférés, Smith College à Northampton dans le Massachusetts. Si ça vous intéresse, j’ai écrit un article sur les universités de Ivy League en Nouvelle-Angleterre.
MIT, côté classique
Erreur #7 Croire qu’on peut « faire » la Nouvelle-Angleterre en 3 jours
Je discute avec de nombreux voyageurs lors de mes visites guidées et je reçois beaucoup de questions via le blog sur visiter la Nouvelle-Angleterre en 2 jours, parfois 3. Je dis mille fois non : ce serait comme croire qu’on peut « faire » la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les pays de la Loire en 3 jours.
Mais je comprends que, hélas, on ne puisse pas prendre 3 semaines de vacances pour chaque voyage, et qu’il faut faire des choix.
La Nouvelle Angleterre, c’est certes 6 petits Etats américains – beaucoup plus petits que les géants comme la Californie, le Texas ou l’Alaska, mais c’est riche en paysages, musées, balades, petits villages.
Mes conseils :
- Ne pas sous-estimer les distances, le Maine, c’est loin ; le New Hampshire, c’est grand. Je vous déconseille de « faire » le Cape Cod en une journée ou d’aller à Acadia National Park pour quelques heures.
- Sortir des sentiers battus – Cape Cod, Salem, Acadia – surtout si vous voyagez en haute saison touristique. Les classiques valent le coup, mais parfois sortir un tout petit peu des sentiers battus permet de tomber sur des perles inoubliables. Si vous lisez le blog, je pense que vous savez que ça regorge de plein d’autres endroits charmants.
- Si vous n’avez que 3 jours à Boston et dans la région, je resterai au moins 2 jours à Boston et ne partirais qu’une journée en excursion en fonction de ce qui vous attire le plus et en fonction de votre moyen de locomotion. Le train et le bus ne sont pas aussi développés ni aussi confortables qu’en France, mais peuvent s’avérer pratiques pour se déplacer sans avoir à louer de voiture.
Fin de journée d’été sur l’île de Martha’s Vineyard
Erreur #8 Penser que tu vas voir un ours, un orignal et un castor à la première sortie nature
Il y a toujours ces récits du voyageur qui voient des animaux sauvages en liberté à la moindre sortie. Dans mon cas, je vois des chipmunks – les petits écureuils au dos rayé – presque à chaque fois. Pour le reste, il a fallu faire preuve de patience et d’organisation.
Mes conseils : il est possible de faire des sorties pour voir des moose dans le Maine (j’en avais parlé ici) ; idem pour voir des macareux (les puffins en anglais), des ours, des baleines… Faites confiance aux pro, ou à votre chance un matin ou un soir sur le bord de la route. Sinon, le Boston Common regorge d’écureuils voraces.
Loin, très loin dans le Maine, et tôt le matin, lors d’un safari pour aller voir des « moose »
Erreur #9 Croire que toute la Nouvelle-Angleterre se ressemble
C’était mon impression à première vue : c’est vert, plein de collines et avec un country store au milieu de la place de chaque petit village. Et c’est toujours l’automne avec ses couleurs spectaculaires. Les gens votent démocrates, font du yoga, soutiennent l’équipe des Red Sox, n’ont jamais froid l’hiver et savent tous préparer le homard.
C’est une description idéale de la région, qui, en dépit des apparences, a plus de spécificités qu’elle n’en a l’air.
Mon conseil : j’ai longtemps passé tous mes week-ends d’automne dans le Vermont, avant de me dire que le New Hampshire, la région des lacs comme les petits villages du Sud avaient de beaux atouts. Je me suis aussi longtemps contenter de ne voir le Maine que comme Portland et Acadia, avant d’explorer plus les terres et le bout du bout du Maine, près du New Brunswick. Le Cape Cod est top, mais le Cape Ann est pas mal non plus, et il n’y a pas que Martha’s Vineyard et Nantucket – aussi magnifiques soient-elles – comme îles de Nouvelle Angleterre.
Mon conseil serait alors de chercher plus loin que les lieux les plus connus.
Cliché de la ferme dans le Vermont à l’automne
Erreur #10 Ne pas venir faire de visite avec Boston le nez en l’air
Comment ne pas vous préciser ce conseil é-vi-dent ? J’ai passé longtemps à concocter des circuits, collecter des histoires, faire que cette expérience soit la plus agréable possible pour les visiteurs. J’ai entièrement confiance dans les guides qui travaillent avec moi et qui sont tous passionnés et ont le goût de transmettre afin de créer une expérience unique. Vous aimez le blog ? Vous adorerez les visites. Ga-ran-ti. Toutes les infos sont sur le site Boston le nez en l’air.
En pleine action pendant l’été
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25 réflexions au sujet de “Les 10 erreurs à ne pas commettre en voyageant à Boston et en Nouvelle-Angleterre”
Bonjour Mathilde
Merci pour tous ces conseils tres utiles.Nous evisageons un voyage sur la Cote Est en septembre 2022( Washington, Philly, New York et terminer par 4 nuits à Boston et 2 nuits à cape Cod) j’ai déjà acheté l’ebook sur Cape Cod et je vais commander prochainement celui de Boston . Je voulais juste savoir si les mises à jour se feront automatiquement?.Nous avons repéré 3 visites guidées sur ton site « Boston le nez en l’air » Je m’inscrirai en tant voulu, car nous avons du temps devant nous😀,mais ça nous laisse aussi du temps pour mettre les sous sous de cote.A très bientôt et bon courage pour la mise en place de tes nouveaux projets.
Bonjour Marie Pierre, merci pour votre message.
Non les mises à jour ne sont pas automatiques, mais l’envoi par email est automatique quand je les fais 🙂 je me replongerai dans ces ebooks quand le tourisme aura repris, pour voir si des choses ont fermé, ce qui a changé, etc.
Merci de votre confiance, ces achats font vivre le blog en attendant des jours meilleurs!
Pour la reprise des visites, on est bien sûr en stand by, et on va voir si notre petite entreprise survit à la crise !
Bonjour Mathilde. Est-ce que le quartier Quincy est sécuritaire?
Bonjour Mathilde,
Mille félicitations pour ce site qui regorge de bons conseils. Mon mari l’a largement consulté avant de m’inviter en mai 2018, pour mon anniversaire, à découvrir la Nouvelle Angleterre (Boston – Cap Cod notamment puis passage par NY). Dormir face aux Kennedy à Hyannis Port était un de mes rêves !
Nous envisageons d’y venir cet été (avec deux enfants, de 17 et 10 ans). L’idée serait de faire Boston / NY / Washington. Les enfants connaissent NY (ma meilleure amie y vit) mais ni Boston ni DC (nous sommes parisiens). Nous nous demandions si la côte était praticable en été pour permettre quelques « respirations » balnéaires notamment pour mon fils de 10 ans qui aimerait, à un moment donné, se mettre dans le sable et plus si affinités…! J’ai peur du côté surpeuplé de la côte en été (ou rendez-vous de milliardaires?) mais peut-être y’a-t-il des alternatives et/ou des coins moins prisés mais tout aussi jolis?
Un très grand merci et longue et belle vie à ce blog.
Bonjour Caroline,
Je propose un service de conseils personnalisés sur la côte Est qui est là pour répondre à toutes vos questions. Voir sur le site Boston le nez en l’air : http://www.bostonlenezenlair.com
Pour le reste, il y a les articles en libre service sur le blog !
Peut être à bientôt,
Mathilde
Bon matin Mathilde,
Ma famille et moi serons à Boston les 5-6 novembre 2019.
Nous souhaitons utiliser vos services pour la visite guidée de 3 heures.
Comment puis-je vous contacter à cet effet ?
Merci.
Patrick Girard
Bonjour Patrick,
Vous n’êtes pas au bon endroit, il faut aller sur le site dédié aux visites guidées de Boston en français : Boston le nez en l’air.
https://www.bostonlenezenlair.com/
Je ne suis pas sûre qu’il y ait des visites à cette période par contre.
Bonne journée,
Merci pour ces bons conseils ! Nous serons a boston en avril et on a deja reserve avec boston le nez en l’air ! j’ai vraiment hate d’y etre !! je dois encore finaliser le reste de nos reservations et nous resterons une semaine a boston !!!
Rendez-vous en avril en visite ! et bons derniers préparatifs.
Bonjour Mathilde. J’ai eu un grand sourire en lisant l’erreur #2 qui est celle que j’ai commise. Je pensais qu’en 1-2 jours ça serait suffisant avant d’enchaîner sur New York et j’ai finalement regretté de ne pas avoir passé plus de temps sur place. Nous avions clairement sous-estimé ce qu’il y avait à voir et faire à Boston.
Hello Cora, et oui parfois on n’a pas le choix que de ne rester qu’une seule journée… A une prochaine fois à Boston alors !
Bon il faut que je viennes à Boston pour faire une visite avec toi !
J’ai visité Boston quelques jours et on avait beaucoup marché et beaucoup apprécié la ville, mais comme partout, plus tu connais plus tu vois ce que tu ne connais pas.
Comme la nouvelle-angleterre : je suis allée à Cape Code mais c’est tout… alors que je trouve cette région sublime et que les descriptions du New hampsdhire dans les romans de John Irving me font rêver.
Quand je vivais à NYC, on flippait de louer une voiture (sans permis américain t’as plus le droit de conduire normalement au bout de quelques mois sur le territoire) et donc on a juste visité les grandes villes de la côte est et pas les ‘campagnes’. bizarre à posteriori !!!!
Et puis NY nous aimantait beaucoup et donc on ne ‘sortait’ pas tant que cela de cette mégalopole.
Hello Marie,
J’imagine que ça doit être tentant de rester toujours à NYC quand on y vit…
And here we go again!
Lenvie d’aller en Nouvelle-Angleterre m’était passée depuis quelques mois, mais rien qu’à la lecture de cet article je sens que ça va redevenir mon obsession number one (je suis en train de calculer les jours que je peux prendre pour partir 10jours).
Là visite à thème « Ivy League » me dit bien, je suis passionnée par ces grandes universités et j’ai super envie d’aller voir leurs bibliothèques (original non?).
Merci pour tout ces conseils qui vont être les bienvenus !
Hello Constance ! Et quand tu mets le doigt dans le circuit université, tu te mets aussi à visiter les maisons d’auteurs – Emily Dickinson, Mark Twain, Harriet Beecher Stowe…
Merci pour l’info. Toujours utile et agréable à lire, comme d’habitude. Merci Mathilde!
Merci pour votre petit mot !
Bonjour Mathilde,
Je ne connais pas Boston mais on ne m’en a dit que du bien. C’est donc une destination que j’espère pouvoir faire très prochainement. J’essayerai de suivre tes conseils et pourquoi pas passer par tes services 🙂
Bonne journée
Et bien peut-être à bientôt alors !
Erreur n°11 : tenter de venir à Boston pendant un week-end de finale sportive nationale. En septembre dernier, nous étions à New York et je voulais absolument venir assister à l’une de tes visites guidées. On regarde les apparts sur Airbnb, les hôtels… Rien à moins de 200$ la nuit ! On était hyper perplexes jusqu’à ce que mon petit frère fan de sport nous dise que deux des plus grandes équipes du pays disputaient une finale ce week-end là (j’ai oublié s’il s’agissait de basket, de baseball ou de football américain).
Bref, on a esquivé Boston et nous avons filé tout droit vers le Vermont où nous avons passé un mois. Mais je ne désespère pas de venir corriger mon erreur n°10 une autre fois !
C’est vrai qu’il y a des moments de l’année à éviter, les fêtes de fin d’année étudiantes également. Par contre le prix ne me choque pas plus que ça pour le centre de Boston, la ville est très chère
Hello Mathilde !
Cet article tombe à-pic pour nous ! Je suis vraiment triste de devoir commettre l’erreur #10 mais j’ai quand même avec moi l’ebook de « Boston le nez en l’air » donc je ne serai pas trop démunie héhé.
Nous avons réservé un airbnb dans le quartier de Brookline ! J’ai lu sur l’un de tes articles que c’était un quartier tranquille. Nous serons un peu à l’écart et loin des centres d’intérêts de Boston mais au moins nous serons au calme pour démarrer notre roadtrip en douceur 🙂
L’ebook, c’est déjà ça, j’espère qu’il te sera utile !
Brookline est vaste, je suppose que vous êtes le long de la ligne verte (la C ou la D) ?
Bonjour Mathilde,
Avec mon mari, nous avons passé trois jours à Boston en 2011 et nous avions trouvé cela trop court !
La prochaine fois nous éviterons de commettre l’erreur #10 😉 (mais nous avons une excuse : Boston le nez en l’air n’existait pas encore !).
Merci pour cette article encore une fois très intéressant.
Merci cécilia ! Et je n’étais même pas à Boston en 2011, donc Boston le nez en l’air n’en était même pas à ses prémisses !
A une prochaine